Aux portes de la mort, la lueur d'un désir de rédemption..
Je dois tout de suite dire que quand le film est passé dans mon cinéma (15 km quand même) je n’ai pas été tentée par un polar chinois malgré les critiques élogieuses ! Mais… Ensuite j’ai vu le drama « Nirvana in fire » dont Hu Ge est l’acteur central, et j’ai découvert qu’il l’était aussi dans « le lac…. » !!!
Et j’ai découvert un très beau film, sombre comme histoire, mais avec un usage virtuose de la lumière et des ombres ! Pour une fois, les scènes nocturnes sont quand même parfaitement lisibles, sans pour autant tricher avec des filtres façon « nuit américaine ». On baigne dans une atmosphère de quartiers de ruelles grouillant de population, ou dans des moments de rencontres solitaires nocturnes, sous la pluie, pas de paysages grandioses, mais une ambiance moite. L’histoire est banale, seule la réalisation virtuose de Diao Yi’nan et la photographie géniale de Dong Jing Song donnent une valeur d’excellence à ce film ! Les scènes sont brèves, s’enchaînent et pourtant l’angoisse du piège qui se referme, de la course contre la montre monte peu à peu jusque’au dénouement inévitable.
L’interprétation est également parfaite et l’écriture des personnages, balançant entre la loyauté, l’appât de l’argent de la récompense et la violence du désir de vengeance, leur donne une réelle existence et une une vraie épaisseur, une humanité surgissant parfois où on ne l’attendait plus. Par moment j’ai été un peu perdue, entre les flics en civils et les voyous, difficile de savoir qui était qui, mais ces moments furent brefs, et sans grande importance car les 3 ou 4 personnages principaux sont clairement définis…
Par contre une très mauvaise note à Arte pour les sous-titres, dont le timing catastrophique m’a donné du souci ! Heureusement les mots arrivaient avant le son, ce qui fait que je les avais en tête quand les acteurs en arrivaient à les dire ! Heureusement qu’il y a peu de dialogues et qu’il n’y a pas de discussions longues et philosophiques ! J’ai essayé le doublage mais 10 secondes m’ont suffi à revenir aux sous-titres décalés ! Je regrette maintenant de ne pas l’avoir vu au cinéma !
Et j’ai découvert un très beau film, sombre comme histoire, mais avec un usage virtuose de la lumière et des ombres ! Pour une fois, les scènes nocturnes sont quand même parfaitement lisibles, sans pour autant tricher avec des filtres façon « nuit américaine ». On baigne dans une atmosphère de quartiers de ruelles grouillant de population, ou dans des moments de rencontres solitaires nocturnes, sous la pluie, pas de paysages grandioses, mais une ambiance moite. L’histoire est banale, seule la réalisation virtuose de Diao Yi’nan et la photographie géniale de Dong Jing Song donnent une valeur d’excellence à ce film ! Les scènes sont brèves, s’enchaînent et pourtant l’angoisse du piège qui se referme, de la course contre la montre monte peu à peu jusque’au dénouement inévitable.
L’interprétation est également parfaite et l’écriture des personnages, balançant entre la loyauté, l’appât de l’argent de la récompense et la violence du désir de vengeance, leur donne une réelle existence et une une vraie épaisseur, une humanité surgissant parfois où on ne l’attendait plus. Par moment j’ai été un peu perdue, entre les flics en civils et les voyous, difficile de savoir qui était qui, mais ces moments furent brefs, et sans grande importance car les 3 ou 4 personnages principaux sont clairement définis…
Par contre une très mauvaise note à Arte pour les sous-titres, dont le timing catastrophique m’a donné du souci ! Heureusement les mots arrivaient avant le son, ce qui fait que je les avais en tête quand les acteurs en arrivaient à les dire ! Heureusement qu’il y a peu de dialogues et qu’il n’y a pas de discussions longues et philosophiques ! J’ai essayé le doublage mais 10 secondes m’ont suffi à revenir aux sous-titres décalés ! Je regrette maintenant de ne pas l’avoir vu au cinéma !
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