La cuisine est ici le chemin de la vie, la métaphore de l'humanité...
Tampopo (Pissenlit en japonais) tient une petite gargotte de ramen. Elle est veuve avec un fils qui se fait malmener par ses copains de l’école primaire. Un jour un camion citerne s’arrête et le chauffeur et son co-équipier entre manger. Comme les deux hommes trouvent les ramen mauvaises et qu’ils ont l’air de s’y connaître (surtout Goro le chauffeur au look de cow-boy), elle leur demande de lui apprendre.
Cet apprentissage va donner lieu à plusieurs digressions toutes aussi savoureuses les unes que les autres, car pour les Japonais, la Cuisine est un art à part entière, comme la Poterie ou le Sabre et ce film est l’essence même du Japon.
La narrations est tout sauf linéaire : on se promène dans ce film en croisant des personnages différents plus ou moins reliés à l’histoire, ou même pas du tout comme le yakuza en costume blanc et sa maîtresse. La cuisine en tant qu’art où tous les sens sont mis à contribution est la trame même du film(le yakuza et sa maîtresse nous prouvent que les plaisir du palais sont étroitement liés à d’autres plaisirs ! )
On y croise tous les milieux depuis des clodos jusqu’à un riche bourgeois et le lien commun est toujours l’art culinaire. Petit à petit la gargotte de Tampopo va devenir un petit restaurant où les gens font la queue, car tout est lié : l’aspect de la cuisine, l’allure de la cuisinière rendent la cuisine encore meilleure ! Et comme ce film est japonais, bien sûr la fin est parfaite, positive, (Ah ! la scène de l’apprentissage de la façon de manger les spaghettis sans bruit, ou celle où les clochards chantent…) heureuse, mais avec une légère et douce mélancolie, quand le camion-citerne s’éloigne pour la dernière fois sur son autoroute !
Ce film est une potion magique, une tranche de pur bonheur qui devrait être remboursée par la sécurité sociale. Impossible de ne pas le finir le sourire aux lèvres avec l’envie irrépressible de se mettre au fourneau !!
Cet apprentissage va donner lieu à plusieurs digressions toutes aussi savoureuses les unes que les autres, car pour les Japonais, la Cuisine est un art à part entière, comme la Poterie ou le Sabre et ce film est l’essence même du Japon.
La narrations est tout sauf linéaire : on se promène dans ce film en croisant des personnages différents plus ou moins reliés à l’histoire, ou même pas du tout comme le yakuza en costume blanc et sa maîtresse. La cuisine en tant qu’art où tous les sens sont mis à contribution est la trame même du film(le yakuza et sa maîtresse nous prouvent que les plaisir du palais sont étroitement liés à d’autres plaisirs ! )
On y croise tous les milieux depuis des clodos jusqu’à un riche bourgeois et le lien commun est toujours l’art culinaire. Petit à petit la gargotte de Tampopo va devenir un petit restaurant où les gens font la queue, car tout est lié : l’aspect de la cuisine, l’allure de la cuisinière rendent la cuisine encore meilleure ! Et comme ce film est japonais, bien sûr la fin est parfaite, positive, (Ah ! la scène de l’apprentissage de la façon de manger les spaghettis sans bruit, ou celle où les clochards chantent…) heureuse, mais avec une légère et douce mélancolie, quand le camion-citerne s’éloigne pour la dernière fois sur son autoroute !
Ce film est une potion magique, une tranche de pur bonheur qui devrait être remboursée par la sécurité sociale. Impossible de ne pas le finir le sourire aux lèvres avec l’envie irrépressible de se mettre au fourneau !!
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