Good story, but a bit bland
Good story (not sure how it compares to the manga series), good production, great actors.However, it lacks those "wow moments" you expect when watching a good thriller.
There's no tension building, no plot twist.
As the story progresses, the FL just unravels the various pieces of the puzzle and, at the end, when you get the full picture, you're just like "ah, ok...".
Good, but not great.
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Let's uncover your past shall we?
A captivating thriller drama of a woman that wants to know who she is despite digging the dirtiest graves that will affect your life.Sadly, this is not as famous as the other thriller because it's truly remarkable to watch.
Everyone did a great job, and the satisfying ending was for all the people, especially Endo and his father.
Just try this one if you love thrillers. It will never disappoint.
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T'as fini de faire le paon !
Les Mystery Dramas mettant en scène des avocats ou des procureurs en quête de rédemption sont aujourd’hui aussi nombreux que les influenceurs make-up. Difficile donc de s’émerveiller — ou tout simplement de ne pas être déçu — lorsqu’un nouveau chef-d'œuvre autoproclamé débarque sur nos écrans.Les producteurs eux-mêmes semblent à court d’idées originales, rivalisant d’excentricités dans la photographie pour combler le vide scénaristique et la mise en scène : visions de paon dans des forêts luxuriantes, en total décalage avec l’intrigue principale, ou encore famille entière pendue dans leur salon. Rien, franchement, ne laissait présager un grand drama... sauf peut-être la présence de la star incontestée de sa génération : Hirose Suzu.
Mais comme j’ai tendance à toujours trop en attendre d’elle, ne risquais-je pas d’être déçu par cette fameuse danse du paon, très attendue et qui va tarder à venir ?
On l'a déjà trop vu, cette danse...
Quand on n’est pas habitué au genre, on peut vite crier au chef-d’œuvre en découvrant un Anata no Ban Desu : retournements de situation à la pelle, musiques envoûtantes, acteurs confirmés, révélations haletantes en toute fin d’épisode… et déception au début du suivant, car pétard mouillé. Mais les vieux briscards comme moi n’en peuvent plus de tous ces tics de production qui saturent désormais le genre.
Comme pour Shin Han-nin Flag, j’ai rapidement perdu le fil, et l’envie de continuer. Honnêtement, je pensais m'arrêter au 5e ou 6e épisode.
Beaucoup de choses n’allaient pas : une intrigue molle du genou, un mystère vite éventé autour de Komugi-chan, des morts “suspectes” montrant les pieds du vrai coupable inconnu avec voix trafiquées, pendant que la caméra insiste lourdement sur le visage des personnages en qui on était censé avoir confiance et qui ne seront au final pas les coupables. On connaît la recette. Et le plat semble à nouveau bien fade.
On espère alors un peu d’originalité du côté du couple Hirose Suzu / Matsuyama Kenichi, ou même un carré amoureux avec Morisaki Win et Isomura Hayato… mais point de romance ici. Rien pour raviver l’intérêt.
On a beau insister sur des scènes oniriques, des effets de flammes, ou encore sur le maquillage et les pulls flamboyants de Suzu-chan, rien ne semble rattraper la platitude du scénario.
Et ces flashbacks… 20 ans plus tôt, avec des personnages qui paraissent avoir 10 ans de plus que dans le présent ! À ce niveau, ce n’est plus du maquillage qu'il faut, seule l'IA peut aider au rajeunissement.
Et soudain… Il déploie sa roue
Alors que tout espoir paraissait perdu, les épisodes 7 et 8 changent la donne.
Les scénaristes se réveillent enfin : les révélations s’enchaînent avec un rythme nerveux, et on est balloté d’un rebondissement à l’autre sans pouvoir souffler. Ce qu’on attendait depuis le début est enfin là, sans qu’on nous balade, comme précédemment, trois heures d'affilés autour du même secret.
Alors certes, les ficelles sont grosses. Et oui, l’incompétence policière est une nouvelle fois mise en lumière (vivement une nouvelle saison de Chō no Rikigaku pour redorer le blason !). Mais les surprises sont bien là et cela fait tellement du bien après 5 ou 6 épisodes de tuto mode et make up de la part Suzu Chan. Et surtout, on se dit qu'on a enfin un véritable sujet de fond : les relations parent-enfant, traitée avec émotion et nuance, révélant peu à peu ce que le drama voulait réellement raconter. Le drama se transforme alors suite de scènetes relatant le poids de la filiation entre père, mère, fille, garçon..
Dommage que ce soit arrivé si tard, et de façon parfois maladroite — notamment à cause de certains acteurs, comme le père de Komugi ou le vendeur de Ramen, aux jeux et aux looks très... approximatifs.
L'attente valait-elle la danse ?
Finalement, il y a bien de quoi rattraper la série.
La prestation de Fujimoto Takahiro, qui rappelle d’ailleurs son rôle dans Chō no Rikigaku, est un vrai point fort. La musique entêtante, mais parfois agaçante, et surtout cet ending, signé Ado, digne des meilleurs endings de Nakajima Miyuki (la relève est assurée), donnent à la série un certain cachet.
Seule ombre persistante : Hirose Suzu, trop souvent fantomatique, qui ne s’effondre ou ne s’emporte vraiment qu’à la toute fin pour montrer son potentiel d'acting. Dommage, quand on connaît son talent.
Il aura donc fallu attendre un bon moment pour apercevoir la danse du paon, mais ça valait l'attente.
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Dancing Peacock
Watching Jdramas isn't my forte but what drew me to this one in the first place was the interesting and gripping plot. It's a simple case, a crime of revenge done by an ex-con, but a weird letter disrupts everything. This has a lot of potential but to be honest, the story path is downward from the start and at the end it reaches the bottom end.The main problem lays with execution of the plot. The police and prosecutors were/are so lousy that it's barely like a real life criminal investigation done in a modern time. There are a lot of plot holes during the investigation that are preposterous.
The biggest irrationality is about the letter itself. It's handwritten but we nor see neither hear about any expert examining it. She says it's real so it is, he says it's fake so it is! This matter of authenticity lasts until around eps. 7, 8 and it's not resolved then, the focus just shifts elsewhere!
The other thing is that with a case as famous as Hayashikawa, there must be all informations about it online but despite it being searched several times we see no mention of the prosecutors (who were the real people behind Rikiro's sentence not the police) where as their names and press conference should've came first so how the old man infiltrated them is far fetched.
A couple of married people had a long term affair and even had a baby but no one around them guessed it, I wouldn't think they were so careful as this happening.
The motives behind the crimes are shallow and weak too, especially for the old guy. His daughter even didn't have his name and probably no one knew their relationship so why would his reputation affect hers? I can think of more things but these are the biggest irritations!
I liked Kumogi and her two lawyers, also Tomoya. They could've explored them more but at least they were better than the rest. The foreshadowing done by the scarf accident was smart too. If only the rest of the story could be as well-thought as that.
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