Rouler des mécaniques… Mmh, presque !
Honnêtement, le début ne m'a pas emballé, mais quelque chose me disait de ne pas m'arrêter tout de suite. Vous savez cette intuition qui vous murmure de continuer, et vous ne savez pas comment ni pourquoi, mais vous le faites. Et bien, c'était ça ! Alors oui, Pavel et Garfield étaient deux bonnes motivations. Cela dit, aussi cool que soit Pavel et aussi charmant que soit Garfield dans ses tenues noires, leurs beaux yeux n'auraient pas suffit. Entre-temps, l'épisode 07 (ou 08 ?) est arrivé, et c'est à ce moment que j'ai réellement trouvé de l'intérêt à l'histoire.
Pour moi, Pit Babe est scindée en deux parties. La première se concentre sur la course automobile, qui permet également de mettre les couples et la majorité des personnages en place. La seconde partie est lorsqu'on sort la tête du garage. À partir de celle-ci, j'ai vraiment aimé la tournure de l'histoire.
Tout d'abord, la première partie.
À mes yeux, c'est trop lisse. Et cela vient d'une fille ayant grandi avec un grand-père et un père qui travaillent dans un garage rempli de voitures et de motos en tous genres. Si les écuries professionnelles sont d'une qualité irréprochable, dans un drame comme celui-ci on s'attend à un peu plus de cambouis sur les mains.
De même pour les courses. On sent les limites du budget dans les arrières plans. Pas de foule, pas de spectateurs, pas d'acclamations. C'est vide. Tout est trop propre alors qu'on parle de bagnoles et qu'un peu de cambouis sur la joue peut faire la différence.
De ce fait, j'ai tendance à penser que cette partie avait pour but de rendre les personnages « cool », tout en plaçant les antagonistes et les problèmes à venir.
Ensuite, la seconde partie.
Depuis le début, la plupart des personnages sont là, mais ils n'apportent pas forcément grand chose. Certains peuvent même passer pour des figurants. Tandis que les autres sont présents, ils disparaissent quelques épisodes puis reviennent d'on ne sait où… Malgré tout, j'ai adoré le virage dans cette seconde partie. Elle apporte de l'action avec un solide bagage émotionnel. D'accord, c'est parfois tiré par les cheveux avec des plans foireux et où les gentils sont stupides, mais ça reste rythmé et entraînant pour qu'on reste accroché jusqu'au bout.
Cette seconde partie offre un bon mélange de romance, action et émotion.
Côté casting et pour aller à l'essentiel, Pavel (Babe) était bon. Cela faisait longtemps que je ne l'avais pas vu, c'était plaisant. Son jeu s'est considérablement amélioré depuis 2 Moons et son charme s'est accentué de la meilleure des façons. Pooh (Charlie) m'a parfois donné l'impression de surjouer (et parfois d'être un peu psycho), mais il est resté assez sympathique.
C'était agréable de revoir Nut (Way) et comme pour Pavel, son jeu a beaucoup évolué depuis Oxygen. Pop (Winner) et S (Tony) étaient des raclures que j'ai adoré détester. Sailub (Alan) et Pon (Jeff) sont un petit bonbon qui, si on n'y fait pas attention, pourrait voler la vedette sans problème.
Pour finir, Ping (Pete) est clairement sous exploité, tout comme Garfield (Kenta). D'ailleurs, puis-je mentionner à quel point ma frustration est immense vis-à-vis d'eux ? Sérieusement ? Rien de plus ? Aucun regard, aucun échange, pas même un petit signe ? Humpf !
Pour résumé, la première partie a rencontré un fort succès. Il est inutile de faire un dessin sur les raisons principales de son succès. Cependant, Pit Babe révèle tout son potentiel grâce à sa seconde partie et nous dévoile un univers entraînant, jonglant entre romance, action et émotion, le tout avec une belle photographie.
Pour moi, Pit Babe est scindée en deux parties. La première se concentre sur la course automobile, qui permet également de mettre les couples et la majorité des personnages en place. La seconde partie est lorsqu'on sort la tête du garage. À partir de celle-ci, j'ai vraiment aimé la tournure de l'histoire.
Tout d'abord, la première partie.
À mes yeux, c'est trop lisse. Et cela vient d'une fille ayant grandi avec un grand-père et un père qui travaillent dans un garage rempli de voitures et de motos en tous genres. Si les écuries professionnelles sont d'une qualité irréprochable, dans un drame comme celui-ci on s'attend à un peu plus de cambouis sur les mains.
De même pour les courses. On sent les limites du budget dans les arrières plans. Pas de foule, pas de spectateurs, pas d'acclamations. C'est vide. Tout est trop propre alors qu'on parle de bagnoles et qu'un peu de cambouis sur la joue peut faire la différence.
De ce fait, j'ai tendance à penser que cette partie avait pour but de rendre les personnages « cool », tout en plaçant les antagonistes et les problèmes à venir.
Ensuite, la seconde partie.
Depuis le début, la plupart des personnages sont là, mais ils n'apportent pas forcément grand chose. Certains peuvent même passer pour des figurants. Tandis que les autres sont présents, ils disparaissent quelques épisodes puis reviennent d'on ne sait où… Malgré tout, j'ai adoré le virage dans cette seconde partie. Elle apporte de l'action avec un solide bagage émotionnel. D'accord, c'est parfois tiré par les cheveux avec des plans foireux et où les gentils sont stupides, mais ça reste rythmé et entraînant pour qu'on reste accroché jusqu'au bout.
Cette seconde partie offre un bon mélange de romance, action et émotion.
Côté casting et pour aller à l'essentiel, Pavel (Babe) était bon. Cela faisait longtemps que je ne l'avais pas vu, c'était plaisant. Son jeu s'est considérablement amélioré depuis 2 Moons et son charme s'est accentué de la meilleure des façons. Pooh (Charlie) m'a parfois donné l'impression de surjouer (et parfois d'être un peu psycho), mais il est resté assez sympathique.
C'était agréable de revoir Nut (Way) et comme pour Pavel, son jeu a beaucoup évolué depuis Oxygen. Pop (Winner) et S (Tony) étaient des raclures que j'ai adoré détester. Sailub (Alan) et Pon (Jeff) sont un petit bonbon qui, si on n'y fait pas attention, pourrait voler la vedette sans problème.
Pour finir, Ping (Pete) est clairement sous exploité, tout comme Garfield (Kenta). D'ailleurs, puis-je mentionner à quel point ma frustration est immense vis-à-vis d'eux ? Sérieusement ? Rien de plus ? Aucun regard, aucun échange, pas même un petit signe ? Humpf !
Pour résumé, la première partie a rencontré un fort succès. Il est inutile de faire un dessin sur les raisons principales de son succès. Cependant, Pit Babe révèle tout son potentiel grâce à sa seconde partie et nous dévoile un univers entraînant, jonglant entre romance, action et émotion, le tout avec une belle photographie.
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