Ouvrir l'œil et le bon !
La diffusion de Kazama Kimichika : Kyojo 0 sur les écrans de TV me donne l'occasion de replonger dans la saga Kyojo. Exit les Eikechi Onizuka et autres Koro Sensei. Le professeur le plus kakkoï du Japon est instructeur à la Police Academy. Tâchez de le retenir, bande de bleus.
Pour ceux qui suivent mes aventures depuis longtemps, vous connaissez mon amour incommensurable pour le corps professoral. Ayant la chance de faire partie de cette belle famille où tout n'est qu'amour et paix, mes modèles ont été GTO, le professeur Koro ou plus récemment Hiragi Sensei dans 3 Nen A Gumi. Une belle brochette de psychopathes qui n'égalent en rien mon nouveau mentor en terme d'éducation, qu'est Kazama Kimichika. Incarné, que dis-je, habité par, Kimura Takuya, déjà formé aux méthodes d'enseignement alternatives avec Hero, il y a bientôt 20 ans, cet instructeur en chef, pour former la police de quartier, ne vous laissera pas de marbre. Les méthodes, d'une efficacité redoutable pour dresser le futur OmawariSan, sont à ne pas montrer à la ligue des droits de l'homme ou de la défense de la dignité humaine. C'est Full Metal Jacket à la Police Academy.
Alors, avec un format qui gâche un peu le plaisir malsain de voir des bleus se faire maltraiter, cela vaut-il le coup de s'imposer deux fois 2 h de brimades, d'engueulades et de torrents de larmes envers ses jeunes acteurs ? Et ben oui. Dans leur rôle, ils sont tous formidables. Kudo Asuka est comme souvent pathétique en beautifull looser. Ses remises en question permanentes sont remplies d'humanité. Kawaguchi Haruna est énervante comme il faut en kawaï mascotte de la police, mais vous verrez finalement qu'il y a une justice dans les kobans. Oshima Yuko plait par sa franchise dans son jeu, etc, etc. En réalité, comme fréquemment, avec un drama school life, les producteurs ont su réunir une équipe assez diverse et talentueuse pour les élèves. Mais s'intéressant chaque 1/2 heure à un personnage, on en oublie les autres et on a du mal à se relancer sur une autre story. 2 h, c'est trop long, on ne peut pas digérer les personnalités de chacun. On a le cerveau broyé par l'instructeur, sans pouvoir apprécier les remises en question. Faite donc des pauses et apprécier ces deux films comme une dizaine d'épisodes. Le plaisir sera décuplé.
La musique et la mise en scène font froid dans le dos, mais sont excellentes. Bravo à la production. On dirait qu'on regarde le mélange improbable de Brazzilia et Police Academy. Tout en distillant, à chaque fois ) de l'émotion à ce qui aurait dû être une fin d'épisode. Et quel souci du réalisme. Les scènes en classe, sur le terrain d'entrainement, d'inspection des recrus…, Tout paraît vrai et on est au plus proche de leur vie. Comment peut-on soupçonner un tel engagement et une telle formation du policier de quartier quand on le regarde à travers les drama. Quelle performance d'acteur, pour l'instructeur évidemment, mais pour les recrues aussi. La chorégraphie, les expressions faciales, les gestes du policier. Tout y est. Certainement le drama qui en apprend le plus sur la vraie vie de recrue. J'adore. Ce film est un must, il faut le recommander à tous les enfants qui rêvent de devenir policiers, ou pas.
Pour ceux qui suivent mes aventures depuis longtemps, vous connaissez mon amour incommensurable pour le corps professoral. Ayant la chance de faire partie de cette belle famille où tout n'est qu'amour et paix, mes modèles ont été GTO, le professeur Koro ou plus récemment Hiragi Sensei dans 3 Nen A Gumi. Une belle brochette de psychopathes qui n'égalent en rien mon nouveau mentor en terme d'éducation, qu'est Kazama Kimichika. Incarné, que dis-je, habité par, Kimura Takuya, déjà formé aux méthodes d'enseignement alternatives avec Hero, il y a bientôt 20 ans, cet instructeur en chef, pour former la police de quartier, ne vous laissera pas de marbre. Les méthodes, d'une efficacité redoutable pour dresser le futur OmawariSan, sont à ne pas montrer à la ligue des droits de l'homme ou de la défense de la dignité humaine. C'est Full Metal Jacket à la Police Academy.
Alors, avec un format qui gâche un peu le plaisir malsain de voir des bleus se faire maltraiter, cela vaut-il le coup de s'imposer deux fois 2 h de brimades, d'engueulades et de torrents de larmes envers ses jeunes acteurs ? Et ben oui. Dans leur rôle, ils sont tous formidables. Kudo Asuka est comme souvent pathétique en beautifull looser. Ses remises en question permanentes sont remplies d'humanité. Kawaguchi Haruna est énervante comme il faut en kawaï mascotte de la police, mais vous verrez finalement qu'il y a une justice dans les kobans. Oshima Yuko plait par sa franchise dans son jeu, etc, etc. En réalité, comme fréquemment, avec un drama school life, les producteurs ont su réunir une équipe assez diverse et talentueuse pour les élèves. Mais s'intéressant chaque 1/2 heure à un personnage, on en oublie les autres et on a du mal à se relancer sur une autre story. 2 h, c'est trop long, on ne peut pas digérer les personnalités de chacun. On a le cerveau broyé par l'instructeur, sans pouvoir apprécier les remises en question. Faite donc des pauses et apprécier ces deux films comme une dizaine d'épisodes. Le plaisir sera décuplé.
La musique et la mise en scène font froid dans le dos, mais sont excellentes. Bravo à la production. On dirait qu'on regarde le mélange improbable de Brazzilia et Police Academy. Tout en distillant, à chaque fois ) de l'émotion à ce qui aurait dû être une fin d'épisode. Et quel souci du réalisme. Les scènes en classe, sur le terrain d'entrainement, d'inspection des recrus…, Tout paraît vrai et on est au plus proche de leur vie. Comment peut-on soupçonner un tel engagement et une telle formation du policier de quartier quand on le regarde à travers les drama. Quelle performance d'acteur, pour l'instructeur évidemment, mais pour les recrues aussi. La chorégraphie, les expressions faciales, les gestes du policier. Tout y est. Certainement le drama qui en apprend le plus sur la vraie vie de recrue. J'adore. Ce film est un must, il faut le recommander à tous les enfants qui rêvent de devenir policiers, ou pas.
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