Dans la peau de Takeuchi Ryoma
Si jouer son propre rôle n'a rien d'original, peu d'acteurs acceptent de franchir le cap, et surtout, en tant que personnage principal, tant l'exercice est casse-gueule. Un acteur comme Takeuchi Ryoma, très populaire et bénéficiant d'un coefficient de sympathie immense, même à l'étranger, peut risquer sa carrière s'il en fait trop ou n'en fait pas assez pour paraitre crédible. Car on est bien en face d'un drama et pas d'un documentaire. Si Ryoma-kun joue son propre rôle et par conséquent est censé vivre son quotidien, le reste du casting sont évidement des acteurs. À commencer par la fantasque Koike Eiko, en guest dans le premier épisode ou ses supposés, parents, frère, sœur ou amis.
Pour ceux qui connaisse bien le jeu de Ryoma-Kun, ses tics sont ici bien présents et, effectivement, on peut parfois être agacé par le fait qu'il en joue dans ça supposé vraie vie. Mamama, ... chotto mate .... une marque de fabrique dans ses dramas, qui nous rappelle qu'on est, justement, dans un drama. Mais rien de grave, car finalement on comprend vite que les scénaristes ont cherché le second degré et certainement pas le réalisme. Takeuchi Ryoma n'est qu'un prétexte, pour dépeindre les travers de la notoriété au Japon ou ailleurs d'ailleurs.
Ryoma joue constamment sur sa supposée notoriété, avec beaucoup d'humour et de second degré. Alors qu'on devrait l'envier on a beaucoup de peine pour lui et cela le rend tellement humain. Contrat donc réussit pour lui et pour la série qui part complètement en cacahuète, alors qu'elle était censée dépeindre ce que fait un acteur durant les trop rares moments de pause.
En la commençant, je me suis dit qu'elle ferait un bon bol d'air après un épisode de "Kimi to Sekai ga Owaru Hi ni" et ses torrents d'hémoglobine. Un petit truc frais et instructif où il y a peu à réfléchir. Mais les scénaristes en ont décidé autrement et je comprends mieux pourquoi Ryoma-kun a accepté son propre rôle. Cette série devient, au fur et à mesure des épisodes complètement surréaliste. Au point qu'on approche le paranormal.
En fait, chaque épisode devient une parodie de genre : De la comédie familiale, au Friends Sofa, en passant par la SF. Certains épisodes n'ont plus aucun sens commun et c'est délectable. Et dès le premier, on sentait les choses tournées mal, mais à ce point...
Complètement sous-estimé et certainement très vite oublié, il faut absolument voir ce trop court chef-d’œuvre de non-sens. Et si vous adorez ou vous détestez Takeuchi Ryoma, car trop beau gosse ou trop stylé, sachez qu'il lacère son icône avec brio. Mais c'est un peu sa spécialité en ce moment, ... le body slashing.
Pour ceux qui connaisse bien le jeu de Ryoma-Kun, ses tics sont ici bien présents et, effectivement, on peut parfois être agacé par le fait qu'il en joue dans ça supposé vraie vie. Mamama, ... chotto mate .... une marque de fabrique dans ses dramas, qui nous rappelle qu'on est, justement, dans un drama. Mais rien de grave, car finalement on comprend vite que les scénaristes ont cherché le second degré et certainement pas le réalisme. Takeuchi Ryoma n'est qu'un prétexte, pour dépeindre les travers de la notoriété au Japon ou ailleurs d'ailleurs.
Ryoma joue constamment sur sa supposée notoriété, avec beaucoup d'humour et de second degré. Alors qu'on devrait l'envier on a beaucoup de peine pour lui et cela le rend tellement humain. Contrat donc réussit pour lui et pour la série qui part complètement en cacahuète, alors qu'elle était censée dépeindre ce que fait un acteur durant les trop rares moments de pause.
En la commençant, je me suis dit qu'elle ferait un bon bol d'air après un épisode de "Kimi to Sekai ga Owaru Hi ni" et ses torrents d'hémoglobine. Un petit truc frais et instructif où il y a peu à réfléchir. Mais les scénaristes en ont décidé autrement et je comprends mieux pourquoi Ryoma-kun a accepté son propre rôle. Cette série devient, au fur et à mesure des épisodes complètement surréaliste. Au point qu'on approche le paranormal.
En fait, chaque épisode devient une parodie de genre : De la comédie familiale, au Friends Sofa, en passant par la SF. Certains épisodes n'ont plus aucun sens commun et c'est délectable. Et dès le premier, on sentait les choses tournées mal, mais à ce point...
Complètement sous-estimé et certainement très vite oublié, il faut absolument voir ce trop court chef-d’œuvre de non-sens. Et si vous adorez ou vous détestez Takeuchi Ryoma, car trop beau gosse ou trop stylé, sachez qu'il lacère son icône avec brio. Mais c'est un peu sa spécialité en ce moment, ... le body slashing.
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