Esta resenha pode conter spoilers
Une curiosité aux sentiments mitigés...
C'est assez compliqué de parler de cette série parce qu'elle laisse des sentiments mitigés tout au ayant quelques points intéressants…
Playboyy pue le sexe, littéralement. Le sexe, la dépravation, la sueur et la douleur. J'ai eu besoin d'un peu de temps pour arriver à la fin (je ne recommande pas de la binge-watch), mais c'était une curiosité qui me donnait envie d'aller jusqu'au bout. Et peut-être que le regard sauvage de Koawoat était aussi une raison de ma ténacité, ahah.
À mes yeux, la plus grande réussite de cette série est son ambiance. Dès le premier épisode, il y a une tension qui s'installe. C'est à la fois érotique, sexuel, sensuel, chaud, humide, mais aussi curieux. De temps en temps, ça devient plus lugubre ne serait-ce que par la direction prise par l'intrigue, pour finalement revenir à des hommes nus qui s'amusent dans les draps (ou ailleurs). Parfois, ça sonne comme un vieux porno ringard. Certaines scènes sont tellement horribles qu'elles en deviennent drôles tout en ayant une forme d'attraction... Honnêtement, c'est souvent embarrassant. Mais à titre comparatif, j'étais plus à l'aise devant Playboyy que Secret Crush on You (que j'ai abandonné après trois tentatives).
Je ne pense pas qu'il faille prendre l'histoire au sérieux. C'est tiré par les cheveux avec une enquête qui s'entremêle à des romances et à des règlements de compte. Je n'ai pas compris l'intérêt de certains personnages. La fin me laisse perplexe… Je ne l'ai pas suivi à la loupe. Cependant, je n'ai pas le souvenir que cela pouvait prendre cette direction. Je ne suis donc pas très emballée par une suite, mais après tout…
Difficile de ne pas parler des scènes de sexe. Elles sont particulièrement osées pour certaines, mais elles sont bien réalisées. Ça colle à l'univers de la série. Pour prendre un exemple, les scènes de Kiseki: Chapter 2 étaient audacieuses oui, mais elles ne dégageaient rien, contrairement à celles de Playboyy. Qu'elles plaisent ou non, elles ont une ambiance et dégagent quelque chose (un sentiment, une tension...). Pour cette raison, j'ai ajouté 0.5 à ma note globale, parce qu'on ne peut nier l'aplomb des acteurs.
Je pense qu'il est important de mentionner que vous ne pouvez pas aimer/regarder Playboyy si vous êtes mal à l'aise avec la nudité ou des actes durs. On voit beaucoup de fesses, de torses transpirants et des actes qui peuvent déranger et peut-être choquer pour les plus sensibles. Personnellement, je suis une personne très pudique lorsqu'il s'agit de mon corps et de mes sentiments, mais la nudité des autres ne me dérange pas du tout. Je n'étais donc pas mal à l'aise devant la majorité des scènes. Il faut également accepter de voir des scènes où les personnages se font malmener et où certains s'en sortent alors qu'ils devraient être en prison pour la quatrième fois en moins de trois minutes, mais bon… Comme dit plus haut, c'est une histoire qui ne doit pas être prise très au sérieux.
Pour résumer, Playboyy est une série étrange qui tangue sans cesse entre la curiosité et le ridicule. Je ne pense pas l'avoir aimé, mais je ne pense pas l'avoir détesté non plus. C'est un entre-deux bizarre qui me pousse à ne pas recommander cette série, mais à ne pas non plus la condamner. Je pense que chacun réagit de façon différente vis-à-vis d'elle. Essayez et vous verrez ?
Playboyy pue le sexe, littéralement. Le sexe, la dépravation, la sueur et la douleur. J'ai eu besoin d'un peu de temps pour arriver à la fin (je ne recommande pas de la binge-watch), mais c'était une curiosité qui me donnait envie d'aller jusqu'au bout. Et peut-être que le regard sauvage de Koawoat était aussi une raison de ma ténacité, ahah.
À mes yeux, la plus grande réussite de cette série est son ambiance. Dès le premier épisode, il y a une tension qui s'installe. C'est à la fois érotique, sexuel, sensuel, chaud, humide, mais aussi curieux. De temps en temps, ça devient plus lugubre ne serait-ce que par la direction prise par l'intrigue, pour finalement revenir à des hommes nus qui s'amusent dans les draps (ou ailleurs). Parfois, ça sonne comme un vieux porno ringard. Certaines scènes sont tellement horribles qu'elles en deviennent drôles tout en ayant une forme d'attraction... Honnêtement, c'est souvent embarrassant. Mais à titre comparatif, j'étais plus à l'aise devant Playboyy que Secret Crush on You (que j'ai abandonné après trois tentatives).
Je ne pense pas qu'il faille prendre l'histoire au sérieux. C'est tiré par les cheveux avec une enquête qui s'entremêle à des romances et à des règlements de compte. Je n'ai pas compris l'intérêt de certains personnages. La fin me laisse perplexe… Je ne l'ai pas suivi à la loupe. Cependant, je n'ai pas le souvenir que cela pouvait prendre cette direction. Je ne suis donc pas très emballée par une suite, mais après tout…
Difficile de ne pas parler des scènes de sexe. Elles sont particulièrement osées pour certaines, mais elles sont bien réalisées. Ça colle à l'univers de la série. Pour prendre un exemple, les scènes de Kiseki: Chapter 2 étaient audacieuses oui, mais elles ne dégageaient rien, contrairement à celles de Playboyy. Qu'elles plaisent ou non, elles ont une ambiance et dégagent quelque chose (un sentiment, une tension...). Pour cette raison, j'ai ajouté 0.5 à ma note globale, parce qu'on ne peut nier l'aplomb des acteurs.
Je pense qu'il est important de mentionner que vous ne pouvez pas aimer/regarder Playboyy si vous êtes mal à l'aise avec la nudité ou des actes durs. On voit beaucoup de fesses, de torses transpirants et des actes qui peuvent déranger et peut-être choquer pour les plus sensibles. Personnellement, je suis une personne très pudique lorsqu'il s'agit de mon corps et de mes sentiments, mais la nudité des autres ne me dérange pas du tout. Je n'étais donc pas mal à l'aise devant la majorité des scènes. Il faut également accepter de voir des scènes où les personnages se font malmener et où certains s'en sortent alors qu'ils devraient être en prison pour la quatrième fois en moins de trois minutes, mais bon… Comme dit plus haut, c'est une histoire qui ne doit pas être prise très au sérieux.
Pour résumer, Playboyy est une série étrange qui tangue sans cesse entre la curiosité et le ridicule. Je ne pense pas l'avoir aimé, mais je ne pense pas l'avoir détesté non plus. C'est un entre-deux bizarre qui me pousse à ne pas recommander cette série, mais à ne pas non plus la condamner. Je pense que chacun réagit de façon différente vis-à-vis d'elle. Essayez et vous verrez ?
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