Esta resenha pode conter spoilers
Une leçon de vie pleine de réalité et d'espoir...
J'ai aimé ce drama. Pour une quelconque raison, Nut et Phob sont arrivés et se sont tranquillement installés le temps de sa diffusion. Pourtant, c'est difficile de le noter, notamment à cause des deux derniers épisodes. Cela dit, j'ai décidé de ne pas les inclure dans ma note, mais j'en parle plus bas.
L'intrigue est intéressante. Si au début j'ai eu quelques sueurs froides lorsque Phob file à l'anglaise, c'est rapidement expliqué et nous obtenons des réponses à nos questions. Le drama ne joue pas l'autruche et ne garde pas la tête enfoncée dans le sable en attendant que le temps passe et qu'une solution tombe du ciel. Tout au long des épisodes, le drama nous délivre divers messages d'espoir.
Côté casting, ce sont les premiers rôles de Man et Title. Ils ne sont pas parfaits, cela dit ils vont clairement évoluer dans le futur. Leur jeu n'est pas aussi catastrophique qu'on peut le lire. En réalité, bien qu'on sente une retenue de leur part, ils savent mieux jouer qu'une bonne poignet d'acteurs et actrices du genre. Le manque de naturel sur certains interactions et les (très) longues pauses entre deux lignes de dialogues peuvent user. Cela dit, il ne fait aucun doute que Man et Title y ont mis du coeur, ça se voit.
Côté narration, elle est lente. Si c'est sujet à débat, pour ma part, j'ai trouvé son rythme idéal. The Yearbook est un drama dans lequel on a besoin de prendre son temps. C'est un style de narration qui ne plait pas à tout le monde, c'est vrai. À mes yeux, c'est le rythme dont il avait besoin.
Autre point, les deux derniers épisodes. Le septième était moyen bien qu'il permettait d'enfin avoir un aperçu de la situation du point de vue de Phob. Cependant, le fait que tout soit sous la forme de flash-back était gênant. Quant au dernier épisode, il semblerait que la production ait été victime des nouvelles directives sanitaire en Thaïlande, par conséquent, elle ne pouvait faire autrement. C'est dommage parce que les deux derniers épisodes ne rendent pas honneur au drama qui avait tout depuis le début. Pour cette raison et parce que je pense sincèrement que c'est indépendant de la volonté de la prod, j'ai décidé de montrer patte blanche sur les deux derniers épisodes.
Bref ! Malgré ses défauts, The Yearbook est une jolie découverte aux multiples messages d'espoir avec une agréable (re)plongée du début des années 2000.
L'intrigue est intéressante. Si au début j'ai eu quelques sueurs froides lorsque Phob file à l'anglaise, c'est rapidement expliqué et nous obtenons des réponses à nos questions. Le drama ne joue pas l'autruche et ne garde pas la tête enfoncée dans le sable en attendant que le temps passe et qu'une solution tombe du ciel. Tout au long des épisodes, le drama nous délivre divers messages d'espoir.
Côté casting, ce sont les premiers rôles de Man et Title. Ils ne sont pas parfaits, cela dit ils vont clairement évoluer dans le futur. Leur jeu n'est pas aussi catastrophique qu'on peut le lire. En réalité, bien qu'on sente une retenue de leur part, ils savent mieux jouer qu'une bonne poignet d'acteurs et actrices du genre. Le manque de naturel sur certains interactions et les (très) longues pauses entre deux lignes de dialogues peuvent user. Cela dit, il ne fait aucun doute que Man et Title y ont mis du coeur, ça se voit.
Côté narration, elle est lente. Si c'est sujet à débat, pour ma part, j'ai trouvé son rythme idéal. The Yearbook est un drama dans lequel on a besoin de prendre son temps. C'est un style de narration qui ne plait pas à tout le monde, c'est vrai. À mes yeux, c'est le rythme dont il avait besoin.
Autre point, les deux derniers épisodes. Le septième était moyen bien qu'il permettait d'enfin avoir un aperçu de la situation du point de vue de Phob. Cependant, le fait que tout soit sous la forme de flash-back était gênant. Quant au dernier épisode, il semblerait que la production ait été victime des nouvelles directives sanitaire en Thaïlande, par conséquent, elle ne pouvait faire autrement. C'est dommage parce que les deux derniers épisodes ne rendent pas honneur au drama qui avait tout depuis le début. Pour cette raison et parce que je pense sincèrement que c'est indépendant de la volonté de la prod, j'ai décidé de montrer patte blanche sur les deux derniers épisodes.
Bref ! Malgré ses défauts, The Yearbook est une jolie découverte aux multiples messages d'espoir avec une agréable (re)plongée du début des années 2000.
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